La composition du Conseil constitutionnel sénégalais est souvent évoquée que lorsqu’une nouvelle nomination est effectuée dans le cadre d’un renouvèlement, soit après la fin de mandat, soit lorsque le décès d’un membre survient.
C’est un sujet qui fait également couler beaucoup d’encre et de salive si la représentation n’est pas équilibrée, comme on en a assisté récemment avec l’absence de professeur de droit dans l’effectif des sages.
Il s’agit dans cette contribution d’aborder la problématique de la constitution du Conseil sous le prisme de la constatation (I) mais également prospectif en suggérant, et ce point forge à certains égards le cœur de cette réflexion, l’institutionnalisation des membres de droit (II).
Par Souleymane NDOUR
Doctorant ATER en droit public à l’Université de Reims
Merci professeur. Toujours cohérent. Diadieuf!
Merci mon intellectuel Ndour. Merci d’avoir partagé ce travail riche d’enseignements. J’ai beaucoup apprécié et aimé. Diadieuf. Ton grand
Excellent article !